•       Aujourd'hui, je reviendrai à la simplicité que vous aimez pour vous proposer ces quelques fleurs... Des violettes de la rue, et la première rose de mon jardin.

     

    Violettes

    Elles sont belles et discrètes.

     

    Rose

    Elle est encore timide...

     

           J'ajoute que je suis prise dans un tourbillon qui va m'éloigner d'internet quelques jours, et que si vous ne me voyez pas sur vos blogs ce sera faute de temps et de connexion.

           C'est pourquoi d'ailleurs je préfère m'éloigner sur un sourire !

              Amitiés à tous.

     

     


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  •       En attendant de nouvelles inspirations pour ce blog, je vous invite à visiter mon autre blog, celui qu'épisodiquement je consacre à Robert Bichet (voir ici le blog), poète, peintre et compositeur mais aussi hautboïste et enseignant-conférencier très apprécié de ses auditeurs, qui est également le père de mes enfants.

     

          Ancien directeur du Conservatoire d'Issoudun où il a laissé sa marque notamment en encourageant l'expression musicale de tous à travers l'improvisation, la création comme l'interprétation et en composant et dirigeant des œuvres à l'intention de ses élèves ou même d'enfants des écoles, il y donne maintenant des conférences gratuites sur la musique contemporaine ; mais en choisissant celle qu'il aime : celle qui parle au cœur et que n'importe qui, toute personne n'ayant aucune connaissance musicale de préférence, sera en mesure de comprendre et d'apprécier.

          Grâce à l'auditorium de la Boîte à Musique, bâtiment qui à Issoudun offre les locaux nécessaires à la fois aux classes du Conservatoire de Musique, aux studios d'enregistrement pour groupes musicaux rock ou pop et aux répétitions des différents groupes de musique existants dans la cité, il peut bénéficier de l'aide d'un technicien son qui, après avoir procédé avec lui au découpage des œuvres choisies et à l'enregistrement des extraits, diffuse celles-ci avec une qualité sonore remarquable permettant au public de pénétrer directement dans l'univers des compositeurs présentés.

     

    Esa-Pekka Salonen

      

        Il vient ainsi de nous faire découvrir le compositeur Finlandais Esa-Pekka Salonen dont la musique foisonnante est pur bonheur, et c'est cet article (ici sur mon second blog) que je vous invite à lire (et à commenter si le cœur vous en dit).

     

               Pour terminer en accord avec l'esprit de ce blog, je citerai ces vers de Phène qui ouvrent et ferment son recueil "Feuillets Apocryphes" :

     

    - Qui meurt ?
    - Personne ! 
    - Comment ?
    - L'apparence est une pensée...


    - Qui vit ?
    - Personne !
    - Comment ?
    - L'Être est plénitude.



          Et je vous assure qu'avec de telles musiques, les frontières s'abolissent et la Plénitude devient palpable...

     

     


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    Absence

     

               Un petit mot pour vous avertir que je serai absente de la toile jusqu'à mardi prochain environ.

            Un léger jeûne par rapport à l'informatique ne peut être négatif, bien au contraire.

              Vous souhaitant le meilleur en ce début d'été et ces journées les plus longues, je vous dis à très bientôt.

     

    Absence

     


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    Pors Moguer - Plouha

     

     

           Je m'absente à nouveau pour quelque temps.

           Il est temps je crois de refermer ce livre dans lequel je m'épuise à souffler sur des cendres mortes.

           L'Histoire sans Fin se feuillette page après page et l'on s'y voit tant que reste un désir de la poursuivre. Mais toutes les pages se ressemblent et les couleurs sont criardes... Mon cheval est fourbu, il aspire au repos.

          Je sais que vos livres à vous continueront de fleurir et d'embaumer durant mon absence, et je les retrouverai ensuite avec joie.

          En attendant cet instant recevez toute ma tendresse, et ma reconnaissance pour ce que vous êtes.

     

         


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  •          Une étoile ici-bas s'est éteinte.

          S'est éteinte parmi les milliers d'étoiles de la terre, pour aller se confondre au fulgurant Soleil de Là-bas.

     

    Witney
    (cliquez pour retrouver son blog)

           

              Je veux parler de Witney.

              Witney dont je suivais le blog depuis longtemps, sachant qu'elle ne vivait pas loin de chez moi, sans qu'elle m'ait jamais dit où. Mais qui depuis quelque temps semblait souffrir et lutter contre la maladie, annonçant fréquemment son absence. Cependant quand on ne sait pas, on croit toujours que ce n'est pas bien grave.

           Sa sagesse, sa douceur, sa discrétion m'étaient toujours un exemple. Son choix d'une fleur de lotus pour présenter son site m'invitaient à l'imaginer bouddhiste, et pour cela je l'admirais, me la représentais en méditation fréquente. Ses paroles étaient toujours profondes et justes. Elle montrait un détachement qui me faisait l'imaginer beaucoup plus âgée.

           Et puis voici que le couperet est tombé. Voici que Béa Kimcat, que je ne connaissais pas, passe chez moi pour m'annoncer son décès ! À l'âge de 59 ans !

             Cinquante-neuf ans est un âge critique : âge du second retour de Saturne, la planète du karma ; autrement dit, âge auquel si nos leçons sont apprises, plus rien ne nous retient sur cette terre... C'est à cet âge-là qu'est parti mon père ; et Agnès-Witney avait sans doute donné plus que personne, d'après ce que j'entends dire comme d'après la multitude des gens présents à ses obsèques - amplifiée du nombre de ceux qui n'avaient pu se déplacer car ils travaillaient.

           Grâce à Béa, j'ai pu m'y rendre : oui, c'était tout près de chez moi, dans les profondeurs d'une campagne délicieuse. Et je l'ai découverte... Trop tard ? Non, car j'ai plutôt découvert un visage ; mais un visage sans intérêt puisque Sa vérité était ailleurs, vérité de Son Coeur qu'elle nous laisse pour toujours à travers ses écrits et nos souvenirs ; et surtout, vérité du message d'Amour immense transmis par tous les textes et tous les chants lus ou entonnés durant cette superbe et émouvante cérémonie.

           Ne pouvant les reproduire ici, je lui offre en hommage ce beau cantique qui leur ressemble.

     



    « Nearer, my God, to Thee », ici les paroles anglaises
    suivies de leur traduction en français

     

     

     


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