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Avis : ouverture d'un site spécifique à Robert Bichet, ici :
Les éditions "Caractères" (Paris) dirigées pas Nicole Gdalia viennent de publier à compte d'éditeur des poèmes de Robert Bichet dans une toute nouvelle collection créée spécialement pour lui : "Arts en résonance". (Je vous ai mis des liens vers ces éditions, mais malheureusement, il semble que le site ne soit pas tout à fait à jour ; cela sera peut-être corrigé prochainement ?)
La collection, à l'image du talent multiforme de Robert Bichet (voir les articles de cette catégorie sur ce blog), se donne pour objectif de publier des poètes qui sont en même temps peintres ou compositeurs.
C'est un beau cadeau de Noël qu'il lui ont fait là car le livre est paru, dans un format tout à fait original (10,5 x 29,7 cm), peu avant les fêtes et a fait l'objet de ventes dédicaces dans les librairies de la ville d'Issoudun puis au rayon livres de l'hypermarché Leclerc où il a bénéficié d'une affluence remarquable. En effet à Issoudun Robert Bichet est une figure particulièrement connue et appréciée de tous !! Aussi les trente exemplaires "de tête", diffusés avec une feuille séparée destinée à une aquarelle originale de l'auteur ont-ils été vendus en quelques heures...
En voici un aperçu (vous pouvez cliquer sur chaque image pour l'agrandir) :
Comme vous pouvez le constater, les partitions de la main de l'auteur sont disposées en couverture, alors qu'à l'intérieur on ne trouve que des poèmes avec en vis à vis des dessins, en noir en blanc seulement mais disposés par paliers, et parfois légèrement filigranés. Je vous en donne ci-dessous un exemple (les pages 18-19, que vous pourrez apprécier pleinement en cliquant pour les agrandir).
Pour achever cette présentation, je vous propose encore d'apprécier l'une des aquarelles ajoutées dans l'édition de tête : étant composée sur place sur un feuillet vierge, elle possède l'avantage de la couleur.
Vous pourrez vous procurer ce livre en le commandant au libraire de votre choix, à Amazon dès qu'il l'aura inscrit à son inventaire, ou aux éditions Caractères (qui ne l'ont pas encore mentionné sur leur site).
Editions Caractères
7, rue de l'Arbalète
75005 ParisOu par mail :
contact@editions-caracteres.fr
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Il fait froid, restons au chaud...
C'est du moins ce que pense Mulder !
Y a-t-il du grain ? se dit le Rouge-gorge.
Mais oui, il y en a !
On se débrouille comme on peut, dans cet univers blanc... 1 commentaire
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Voici longtemps que je gardais en réserve ces photos pour vous en faire profiter : elles ont été prises juste avant Noël à Rouen, autour de la cathédrale, où s'étendait un magnifique Marché de Noël.
En plus c'était dimanche ! Les promeneurs n'allaient pas tarder à affluer.
Dès 11h du matin tout était en place.
Tentant, n'est-ce pas ?
Le carroussel attire l'oeil. Vous le verrez plusieurs fois...
Toute une délégation québécoise, très appréciée !
Eh oui, encore le carroussel ; et derrière, le beau bâtiment de l'Office du Tourisme, qui fait face à la cathédrale.
A gauche du parvis de la cathédrale (dont tout le bas est en réfection) : un tipi !!
Cette fois c'est l'après-midi, le soleil est apparu et malgré le froid la foule se presse devant la cathédrale (j'ai brouillé les visages volontairement).
C'est la fête ! Vous pouvez agrandir cette image.
Et demain, visite de la cathédrale...(voir ici)
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Nous poursuivons notre promenade en découvrant la cathédrale, qui semble avoir beaucoup souffert de la guerre et dont beaucoup de vitraux , voire des pans de muraille, ont été détruits. Le détail vous est fourni ici par l'important article publié par Wikipedia.
Voici la façade, avec le porche principal (ouest) actuellement en réfection. On y distingue les nombreuses tours, notamment à droite la Tour dite "de beurre" parce qu'elle aurait été financée par des riches achetant ainsi le droit de manger du beurre durant le Carême (!), qui semble la plus haute parce qu'elle n'a pas de toiture (75 m) par rapport à celle de gauche, la Tour Saint-Romain, entièrement refaite après son incendie en juin 44, et dont la magnifique toiture d'ardoise est décorée d'un soleil flamboyant sur chacune de ses quatre faces (82 m).
La photo ci-dessous issue de Wikipedia vous en donnera l'aspect général, tel que je ne pouvais vous le fournir à cause notamment du marché de Noël, mais aussi des nombreux échafaudages que vous avez pu apercevoir dans le précédent article :
Cependant la nouvelle disposition de la ville laisse peu de recul pour appréhender l'édifice dans son entier, c'est pourquoi je ne résiste pas au plaisir de vous montrer cette image d'archives proposée également par Wikipedia, une gravure datant de 1822 :
On y voit beaucoup mieux la spectaculaire "Tour Lanterne" qui domine la nef et culmine à 151 m.
Voici d'autres photos extérieures de mon cru :
Celle-ci est prise à l'arrivée, côté sud, et vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus.
Détail du portail latéral sud (l'image peut aussi être agrandie).
Toujours en arrivant par le sud, la Tour Saint-Romain (à agrandir).
Puis la Tour de Beurre (id.)
Une vue depuis le côté nord, avec la Tour-Lanterne et les restes de l'ancien archevêché.
Pénétrons maintenant dans la nef, superbement élevée (28 m).
Tout près de l'entrée se tient la crèche, puisque c'est bientôt Noël, où l'enfant Jésus n'est pas encore né.
En se retournant, on découvre les grandes orgues ainsi que la rose de la façade.
Puis par le déambulatoire on rejoint le chœur, où subsistent des vitraux du XIIIe siècle. Malheureusement je n'ai pas poussé plus loin, la grille étant fermée.
Dans le transept, on découvre un bel escalier joignant les hauteurs de la nef... Ou peut-être communiquant avec l'archevêché, puisque c'est le flanc nord.
Une hauteur de voûte exceptionnelle sous la Tour-Lanterne (51 m).
Et nous voici ressortis, découvrant les Tours Saint-Romain et de beurre par le côté nord.
Voici les restes de l'ancien archevêché, derrière lesquels se profile la flèche de la Tour-Lanterne.
Pour finir, je pique à nouveau sur Wikipedia pour vous montrer cette toile de Claude Monet, peintre amoureux de Rouen et largement salué dans cette ville.
Bientôt le troisième volet de cette découverte de Rouen : images de la vieille ville. (voir ici)
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Ce 20 décembre, dimanche et jour du marché de Noël, nous avons donc quitté le parvis de la cathédrale pour emprunter la rue du Gros-Horloge, nom étrange dont nous allons bientôt découvrir la cause. Nous qui avions vu des maisons à colombages à Bourges, à Tours, nous avons été frappés ici, non seulement par leur abondance, mais aussi par la variété de leurs styles, et surtout par leurs couleurs. Cette couleur pastel par exemple, sur la gauche de la photo ci-dessus est à la fois très inhabituelle à nos yeux, et très fréquente là-bas.
Cette rue piétonne, étroite et pittoresque, démarre juste en face de la cathédrale, que nous apercevons en nous retournant. Sous les colombages bruns de la maisons de droite, le crépi est de couleur rose, ce qui nous rappelle les tonalités pastel déjà remarquées.
Bientôt, nous découvrons le Gros-Horloge (voir ici en bas de page), un magnifique porche surmonté d'un cadran non moins splendide. Entre les maisons pendent les décorations de Noël.
(cliquez pour agrandir)
Sous le porche l'amoureuse du latin que je suis se plaît à déchiffrer :
(cliquez pour agrandir)
"Animam suam donat pro ovibus suis" : "il donne sa vie pour ses brebis"
Et de l'autre côté :
(cliquez pour agrandir)
"Pastor bonus" : "Le bon pasteur"
Sur la gauche en sortant, une fontaine à la gloire du Roi Louis : peut-être était-ce lui, le "bon pasteur" ?
(cliquez pour agrandir)
Nous poursuivons notre promenade en suivant la rue derrière nos guides.
Tout me paraît étonnant dans l'architecture des maisons. C'est le style normand ! Je pense à Gustave Flaubert et à Madame Bovary...
Derrière nous le Gros-Horloge apparaît aussi beau côté pile que côté face - si on excepte les nombreux travaux et la foule de plus en plus abondante qui emplit les rues - surtout avec la flèche de la cathédrale qui semble toute proche derrière lui.
Mais nous parvenons sur la place du Vieux marché, car midi a sonné et nous cherchons un point de restauration. Si je ne me trompe, c'est là que nous découvrons l'emplacement du bûcher de Jeanne d'Arc. Ici la neige n'a pas disparu, contrairement à tous les autres lieux photographiés, et rappelle qu'il fait toujours très, très froid !
(cliquez pour agrandir)
Une belle église de style contemporain se dresse tout près, accolée aux halles de style identique, (à gauche sur la photo) d'où part (ici vers la droite) un long porche orné d'inscriptions votives à notre célèbre pucelle (Eglise Sainte Jeanne d'Arc, voir à cette page en bas).
(cliquez pour agrandir)
Nous dénichons une brasserie où nous nous réchauffons bien agréablement, avant de reprendre une route dans laquelle bientôt je ne me repère absolument plus.
Traversant la rue Jeanne d'Arc où passe le tramway nous découvrons un bel édifice renaissance : le Palais de Justice (voir à cette page).
Puis nous nous engageons de nouveau dans de vieilles ruelles où nous allons de surprise en surprise.
(cliquez pour agrandir)
Ici ces colombages posés dans les hauteurs et encastrés entre deux murs m'évoquent un pavillon des bords de Manche, posé là on ne sait comment.
Là apparaît une nouvelle église dont la Tour présente un clocher magnifique.
Puis je tombe en arrêt devant l'armature bois de cette bijouterie, avec sa pointe au-dessus de la porte....
(à suivre ici...) 2 commentaires
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Six recueils de poésie.
- Le Rossignol d'Argent, éd. Saint-Germain-des-Prés, 1974.- Renaître, éd. Stellamaris, 2011.
- Instants secrets, éd. Stellamaris, 2012.
- Regards, éd. Stellamaris, 2014.
- Aimer à l'infini, éd. Stellamaris, 2014.
- La Quête, éd. Stellamaris, 2018.
Sur le site de l'éditeur on trouve des critiques de chaque ouvrage et on peut en feuilleter les premières pages.
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