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Par
Aloysia* dans
Poèmes en prose le
6 Novembre 2007 à 12:00
A ma nuit sans tache au milieu du jour ; friable ; aux murailles dégarnies et couvertes de lierre grimpant...
A mes éclats sans origine, sans but ; explosifs ; aux retombées éternellement déchirantes et qui me brûlent le cœur...
A cette obscurité sans fin comme une prison et au rêve souterrain ; pitoyable et recroquevillée dans un pétale.
- O vous tous ! Soyez perdus ! Soyez perdus ! Oui, par trois fois, soyez perdus !
Car que peut-il y avoir de pire que la mort - même caressante ?
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