•     Oui, si le séjour fut agréable, par contre le retour le fut moins puisque ma voiture a été écharpée par un poids lourd qui a disparu sans demander son reste. Cela explique mes difficultés à revenir sur les blogs depuis dimanche, car outre la préparation de Noël je cours partout à la recherche de pièces pour ma voiture, l'assurance refusant de participer pour un tiers non identifié. J'en profite pour ajouter ceci : vive les petites routes !! C'est par elles en effet que je suis rentrée après ma mésaventure, car on a tout à y gagner : pas de péages, pas de radars, pas de poids lourds, pas besoin du rétro gauche pour changer de file ou surveiller ce qui vient (le mien avait été détruit en mille morceaux) et jolis paysages (du moins dans les régions vallonnées 
    que j'ai traversées comme les côtes de Beaune et le Morvan).

         Mais reprenons notre récit.

     


        Le lundi suivant notre arrivée, la neige se remit à tomber en abondance, si bien que nous renonçâmes à bouger, et de même le mardi. Notre propriétaire se vit obligé de repasser sa "fraise à neige
    (un genre chasse-neige à main) dans le chemin d'accès à son domicile, un engin bien pratique dans ces régions et que je n'avais encore jamais rencontré.

    Le-Thillot-fraise-a-neige.jpg


        Nous avions bien l'intention de voir Gérardmer, et le seul moyen de voyager par ce climat me semblait être de partir le matin et rentrer l'après-midi. Une fois le chemin rendu carrossable, nous partîmes donc avec la recommandation de faire le détour par Remiremont afin de profiter de routes dégagées et salées.

        Malgré la qualité de la route nous arrivâmes à Gérardmer coincés entre un camion et une voiture, et les bas-côtés étant transformés en murs de neige je ne pus m'arrêter pour photographier le lac : pour vous en donner une idée, voici donc un cliché tiré d'une carte postale. 

     

    Gerardmer-01.jpg

     

        Nous crûmes alors pénétrer dans une de ces cités-fantômes que l'on voit parfois dans les films-catastrophe américains... Partout d'énormes palaces, fermés. Des rues envahies par la neige et complètement vides... Il était midi, nous espérions trouver à manger et je me dirigeai résolument vers le centre ville. Je ne fus pas déçue : nous y trouvâmes un restaurant très accueillant où nous pûmes déguster une choucroute aussi originale qu'artisanale.

     

    Choucroute-a-Gerardmer.jpg

     

        C'était le réconfort nécessaire avant d'affronter la route que j'avais décidé de découvrir pour notre retour (tout de même !) : prendre la direction du Col de la Schlucht et revenir par La Bresse.

     

    Carte-Gerardmer.jpg

     

         Dès le départ, en direction de Colmar, la route s'avère bien enneigée. (À partir d'ici, en raison de la beauté des images, je vous offre la possibilité de les agrandir à 1024x768 px).

     

    Vers-La-Schlucht-01.jpg

     

      La route ne peut être praticable pour la raison simple qu'il s'est remis à neiger. Comme je m'en étais doutée, sans pneus contact je n'aurais jamais pu me déplacer dans la région.

     

    Vers-La-Schlucht-02.jpg

     

        On ne peut même pas lire les panneaux ! L'autre avantage est cependant que l'on jouit d'un trafic quasi inexistant.

     

    Vers-La-Schlucht-03.jpg

     

        Pour moi qui n'ai guère l'habitude de la montagne c'est un enchantement perpétuel. 

     

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        Je roule à une vitesse extrêmement réduite et m'arrête à chaque fois pour prendre ces photographies à travers le pare-brise.

     

    Vers-La-Schlucht-05.jpg

     

        Mais à force de monter, nous entrons dans le nuage et l'humidité tombe.

     

    Vers-La-Schlucht-06.jpg

     

       Enfin nous atteignons un replat ; ce n'est pas encore le Col de la Schlucht, il est à 2km environ. C'est simplement le carrefour qui nous permet d'obliquer vers La Bresse pour prendre le chemin du retour. Je m'arrête et sors de la voiture pour mieux profiter de l'endroit.

     

    Vers-La-Schlucht-07.jpg

     

           Derrière, le paysage est sublime...

          Vu le temps que j'ai mis à arriver jusqu'ici et les difficultés que j'ai rencontrées, il ne me paraît pas raisonnable de poursuivre plus avant vers Colmar, et je décide de prendre sur ma droite.

     

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         Justement, un chasse-neige quitte le chalet et s'engage sur la petite route ! L'occasion est trop belle de rouler dans son sillage...

     

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        La rencontre de panneaux presque ensevelis m'amuse toujours.

        Le véhicule de la voirie semble juste dégager la route, mais ne pas lâcher de sel ; et de plus, voici qu'il s'attarde longuement à dessiner un parking sur ma droite, si bien que je dois le dépasser et poursuivre seule mon chemin.

     

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       La route s'avère maintenant très délicate, et je n'y suis pas complètement seule.

     

    Vers-La-Schlucht-11.jpg


        Eh ! oui, c'est que nous approchons de domaines skiables !

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       La Bresse semble un séjour fort agréable pour les skieurs...

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         Heureusement, sitôt quitté cette ville nous parvenons vite à la plaine.

    Vers-La-Schlucht-14.jpg


        Le ciel semble se dégager vers le couchant.

    Vers-La-Schlucht-15.jpg

       
         Et en effet, sitôt de retour à notre chalet, nous assistons à un beau coucher de soleil qui présage du temps radieux dont nous bénéficierons le mercredi.

             Ce sera la plus belle journée de notre séjour.

     

     
     
     

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  • (Début ici


         Le matin du 12 décembre, le soleil resplendissait sur Le Thillot.

         (Comme dans le précédent article, vous pouvez agrandir toutes ces photos).

    Le-Thillot-12dec.JPG


        Nous décidâmes donc de ne pas perdre un instant et de monter dès le matin au col des Croix (par la route de Lure, l'itinéraire que nous aurions dû emprunter pour venir).

    Col-des-Croix-12dec.-1.jpg


        Nous pûmes alors admirer le panorama sur Le Thillot tout enneigé.

    Col-des-Croix-12dec.-4.jpg


       La route elle-même était dégagée, mais nous laissâmes la voiture au Col et partîmes à pied sur la petite D16.

    Col-des-Croix-12dec.-2.jpg


        Il était midi, la lumière était extraordinaire...

    Col-des-Croix-12dec.-3.jpg


         Je croyais évoluer dans un film, en pleine magie !

          Le temps de rentrer déjeuner et de repartir pour le Ballon d'Alsace, hélas le soleil allait vite retomber. Mais nous n'avions pas le choix : dès le lendemain la grisaille allait revenir, puis la pluie.

    Ballon d'Alsace-déc12 02


        Nous nous engageâmes sur la D465 à partir de Saint-Maurice-sur-Moselle, tout proche, et immédiatement la route s'avéra très enneigée. Cependant elle était ouverte, alors que la route des Crêtes ne l'était pas.

    Ballon-d-Alsace-dec12-03.jpg


         Après de nombreux lacets, nous cherchâmes à nous arrêter pour marcher un peu dans les bois.

    Ballon-d-Alsace-dec12-01.jpg


         Mais ce fut impossible ! La neige nous arrivait aux genoux.

    Ballon-d-Alsace-12dec12-04.jpg


         Quand nous vîmes enfin le sommet, ce fut sur un sol terriblement gelé et par un blizzard si glacial que sortir sans bonnet ni gants était pratiquement insoutenable.

    Ballon-d-Alsace-12dec12-copie-1.jpg


        Quant aux panneaux, il était toujours impossible de les lire... 

    Ballon d'Alsace-06


        Bientôt nous découvrîmes quantité de skieurs de fond. À vrai dire je n'avais pas imaginé cet espace ni cette affluence !

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         Mais que voyait-on à l'horizon ? Quelle chance de nous trouver là par une journée si belle ! 

    Ballon-d-Alsace-dec12-08.jpg


        Des pics aussi découpés, ce ne pouvait être que les Alpes !!  Non, je n'étais au courant de rien et n'ai pu que le deviner.

    Ballon-d-Alsace-dec12-09.jpg


       Mais déjà nous repartions en direction de Belfort (voyez la carte Michelin proposée ci-dessus, en vous déplaçant vers le sud) car je n'avais nulle envie de revenir sur mes pas.

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       Dès que possible, j'obliquai sur Mulhouse, mais la route très gelée et maintenant à l'ombre finit par me faire déraper pour la première fois... Heureusement, personne en vue, et à si petite vitesse, aucun dommage.

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        Enfin nous atteignîmes un petit vallon où nous dégourdir un peu les jambes.

    Ballon-d-Alsace-dec12-12.jpg


         Il y avait même là un petit ruisseau qui émergeait à peine de la neige.

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      Peu avant le coucher du soleil, nous découvrîmes avec surprise le lac de Sewen pris dans les glaces !

        Ensuite la route était dégagée car nous entrions dans une succession de villages, et  nous dûmes la suivre presque jusqu'à Mulhouse pour retourner ensuite au Thillot par la RN 66 (la route d'Epinal), tous les autres passages étant fermés à la circulation. Ce retour nocturne parut donc plus long que la promenade, avec de moins en moins de neige et de plus en plus de pluie autour de Mulhouse, et surtout... que d'embouteillages !
         Mais enfin, lorsque nous retrouvâmes Moosch et remontâmes vers le Col de Bussang le paysage redevint superbe et le trajet plus tranquille.

     
     
     

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  •     Hier j'ai pris la route pour Tours ! À dix heures du matin comme plus tard d'ailleurs, aucun chasse-neige, aucune saleuse n'étaient passés sur les départementales...  Pourtant la route d'Issoudun à Vatan est une bretelle officielle de l'autoroute A 20 ! Cependant en l'absence de toute circulation, la neige poudreuse permettait de rouler à peu près convenablement. (Voir l'itinéraire ici).

    Voyage-a-Tours-20janv-01.jpg


          Même à l'intérieur des bourgades, rien n'était dégagé : ici, le bourg de Vatan, en sortant direction Valençay.

    Voyage-a-Tours-20janv-02.jpg


        Sur la route de Valençay, je traverse Poulaines, dont l'église est pleine de caractère.

    Voyage-a-Tours-20janv-03.jpg


       Peu avant Valençay, la route serpente dans un petit vallon... Tout heureuse de mes pneus hiver, je vois que la situation rappelle nettement mon récent séjour dans les Vosges.

    Voyage-a-Tours-20janv-04.jpg


       Evidemment je ne prends aucune photo de ville, car je n'ai pas le temps de m'arrêter, et étant au volant, en ville, je fais attention aux quelques voitures qui circulent ou aux intersections. Alors que seule dans la nature, je peux utiliser l'appareil photo planté sur le volant et visant droit devant moi ! Cette fois c'est la zone la plus enneigée du voyage : la forêt de Valençay, direction Saint-Aignan.

    Voyage-a-Tours-20janv-05.jpg


       La hauteur de neige est visible aux traces de roues... Mais déjà nous arrivons à Villentrois. (Voir ici).

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       Vite une maison attire mon regard sur le côté, mais le temps de prendre la photo, la voiture a déjà trop avancé... On dirait un totem à l'entrée ! La flèche représente un tipi.

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        Je ne puis résister à l'envie de prendre cette charrette qui vante les "Vins et Fromages de Valençay".

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        Enfin, voici Saint-Aignan : à ma droite, le Cher. Dès que je l'aurai traversé, je trouverai une nationale merveilleusement dégagée... Mais ce n'est pas le même département !! Lors de mon retour, même en utilisant la Nationale, je découvrirai avec dépit qu'en entrant dans l'Indre plus rien n'est nettoyé. 

    Voyage-a-Tours-20janv-18.jpg

     
      Me voici donc parvenue à Rochecorbon, commune limitrophe de Vouvray, juste avant Tours sur la rive droite de la Loire, et bâtie à l'aplomb du coteau, avec sa célèbre "lanterne des morts" tout en haut (c'est la tour que vous voyez).

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       On y trouve bien évidemment des caves creusées dans la falaise, et des maisons qui s'appuient à la roche et s'évasent dans les profondeurs des cavernes.

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        Je suis allée vers les bords de Loire et n'ai pu m'empêcher de photographier ce joli banc qui m'a rappelé Hélène***.

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       La Loire s'étalait paresseusement, plus gonflée que jamais.

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       Mais j'avais rendez-vous ensuite au sud de Tours, du côté de Veigné. Je retrouvai donc une petite route encore enneigée qui descendait le coteau de l'Indre (rivière).

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        À  l'entrée de Veigné, l'Indre à son tour, bien grosse également....

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        Mais voici le charmant hameau de La Martinière !

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       Ici tout était si joli autrefois !... Ce puits donnait l'eau la plus pure qui soit. Mais la ville en a interdit l'utilisation pour obliger tout le monde à s'abonner à l'eau qu'elle distribue. Et puis tous les champs environnants ont été transformés en terrains à bâtir... C'est la proximité de Tours qui attire tout le monde.

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        Par là, c'est encore la campagne...

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        Mais hélas, au retour, la neige fond et devient si lourde et si collante que rouler dessus devient impossible (ici, en forêt de Loches). Je reviendrai donc par de grands axes, à m'énerver derrière des trains de voitures roulant au ralenti...

     

         Lire ici le poème que j'ai écrit sur la neige qui correspond le mieux à l'actualité du moment. Il y a aussi celui-là. Pour le moment je ne sais pas en écrire de nouveaux ! 

     

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    paques 019     

    Revenez, cloches endormies !         paques 091

     

     
       Il y a bien, bien longtemps je suis allée vous chercher, et c'est aujourd'hui ce que je me rappelle, car mes plus beaux voyages je les ai faits très jeune, et je n'en garde que de merveilleux souvenirs.
     
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        Comme vous le voyez sur cette photo, prise sur un tout petit appareil argentique, il s'agit de la basilique Saint-François d'Assise, prise en avril 1967 juste après Pâques.
       Âgée de pas tout à fait 16 ans encore, je participais au pèlerinage des chorales liturgiques de France, et devais chanter en la basilique Saint-Pierre de Rome pour la messe de Quasimodo (1er dimanche après Pâques).
     

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       D'Assise, où nous logions chez l'habitant, nous montâmes à pied aux Carceri - l'Ermitage de Saint-François - en traversant les champs d'oliviers.
     
    Naples-01.jpg   (Le Vésuve vu du car)
     
         Après une courte visite de Florence, nous atteignîmes Rome, d'où nous fîmes une excursion jusqu'à Naples, hélas sous une pluie battante.
     
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          Enfin à Rome nous trouvâmes le soleil et j'en profitai pour me promener abondamment dans la ville antique...

     
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       Nous fûmes bien sûr reçus par la pape Paul VI (pris ici dans un des transepts de la basilique Saint-Pierre bondée).


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    (Intérieur de la basilique Saint-Pierre - carte postale achetée sur place à l'époque)
     

       Lors de la messe dominicale je m'appliquai à chanter parfaitement le grégorien, que je suivais en neumes sur ma portée à quatre lignes. Nous n'avions pas que cela à chanter, bien sûr, le concile était passé par là, et nous avions aussi de jolis airs français contemporains à plusieurs voix. Mais nous entonnâmes au moins le "Victimae pascali laudes", la fameuse séquence de Pâques qui remonte au XIe siècle... 

     


       Nous chantâmes aussi le joli psaume d'entrée qui donne son nom au dimanche concerné : "dimanche de Quasimodo", non pas à cause d'un quelconque rapport avec un personnage de Hugo - lequel justement devait son nom à ce dimanche -, mais à cause du premier mot de son psaume d'entrée en latin, "quasimodo", qui signifie "comme" (ou "de la même façon que") :
    "Comme des enfants nouveaux-nés, raisonnables et sans malice" (c'est du moins ainsi que je comprenais la suite "rationabiles, sine dolo"... voyez cependant la traduction officielle ici : "sine dolo" est en relation avec "lac" : le lait sans malignité, donc pur), "lac concupiscite" : "désirez ardemment le lait" (spirituel). J'ai beaucoup aimé cet air, qui comme les autres que nous entonnâmes en grégorien ( les différentes parties de la messe "lux et origo" que vous pouvez retrouver ici), me semblait joliment orné. 
     
         Nous en avons rapporté un microsillon, qu'hélas je ne retrouve plus depuis tant de déménagements.

           Ce que j'évoque ici peut rebuter certains, aussi vais-je m'expliquer.

            Les démarches religieuses de notre enfance sont le ciment de notre vie spirituelle ultérieure, comme les racines sont le support de l'arbre qui grandit.
       Cette marche dans la montagne jusqu'à l'ermitage de Saint-François ; ces chants pleins de fraîcheur et porteurs d'une puissance ancestrale forment, avec bien d'autres expériences, le terreau qui m'a conduite à ce que je ressens maintenant. Mais ils ne sont pas pour autant indispensables au monde actuel : le latin, le chant grégorien, ont pour moi la même valeur que le sanskrit ou les sutras tibétains ; ce sont des références, mais des références parmi d'autres.

        Et pour exprimer la joie pascale aujourd'hui, toutes les formes sont possibles, des chants d'oiseaux aux rires d'enfants, de la chasse aux œufs au repas en famille !
     
     
    Paques-2012.jpg
     
         Ainsi donc :

    JOYEUSES PÂQUES À TOUS !

     
     
    soleil 040
     
     
     

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  •     Une petite promenade vers Nemours, en Ile-de-France, m'a permis de découvrir la ravissante église St-Martin, sur la commune de La Genevraye

     

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       J'ai adoré ses formes carrées, ses pierres grises avec des contreforts, ses belles tuiles de style beauceron, et les ifs qui l'environnent, égayant le cimetière et l'enclos paroissial. Classée aux monuments historiques, vous pouvez la voir ici en 1280x719px.

     

     

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