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       Les vacances ont été courtes mais agréables... malgré quelques déconvenues comme l'objectif de mon appareil coincé par des grains de sable, tandis que le petit compact s'obstinait à présenter des taches internes indélébiles.

       Je n'ai donc pas fait beaucoup de tourisme mais peux vous donner un aperçu de quelques belles journées au bord de la mer, à Saint-Palais près de Royan.

     

     

         La flèche pointe sur l'endroit exact où se situait notre location, face à l'Hôtel de Ville et à deux culbutes de la plage. En double-cliquant sur le plan vous obtenez l'échelle qui vous permet de vous rapprocher ou de vous éloigner de la cible (ainsi qu'une main pour vous déplacer sur la carte et même la possibilité de "street view !); ainsi vous pourrez repérer également les chemins de corniche que j'ai suivis lors de mes pérégrinations vers la Plage du Platin ou celle de Nauzan. Et en reculant encore un peu vous pourrez apercevoir le tracé de la navette qui relie Royan à la pointe de Grave, et dont j'ai souvent photographié les bateaux.

       Le soir de notre arrivée (un samedi comme il se doit...), nous dirigeant vers le bord de mer nous découvrîmes ce sculpteur sur sable en pleine action.

    Un petit souffle d'air marin


    Un petit souffle d'air marin
    Sculpture de sable en hommage à la coupe du monde de football.

     
       Je n'avais alors sur moi que mon téléphone portable et de plus il était difficile de deviner quelle serait l'allure finale de la composition : j'y voyais surtout des naïades un peu plantureuses... 

       En fait il n'en était rien, et quand l'artiste eut terminé son travail, nous nous aperçûmes que chaque visage (et ils étaient nombreux au bout du compte !) représentait une nation présente à la coupe mondiale de Football ; sur la droite un garçonnet de type amérindien représentait le Brésil, ailleurs des fillettes représentaient respectivement la France et d'autres pays ; au milieu trônait un ballon. Evidemment des couleurs ajoutées par la suite permettaient de le comprendre, avec notamment le jaune et le vert présents sur le ventre de la matrone centrale, qui portait le logo de la rencontre avec la mention "Brazil 2014".

       Le ballon comme de juste était blanc et noir et pour chaque pays représenté apparaissaient les couleurs de leurs drapeaux. Autour de la composition, au sol, on voyait des tortues aux écailles bien dessinées... Hélas, quand je découvris cela, ce fut pour m'apercevoir que mon appareil photo était hors d'usage et je fus donc incapable de l'immortaliser... d'autant plus que lorsque je revins le lendemain avec un autre appareil, il ne restait plus qu'une masse informe car, le sculpteur ayant cessé de l'arroser abondamment, le sable au soleil avait séché, et rendu l'édifice à son aspect primitif de simple monticule conique...

        Mais  revenons à la plage qui, en ce début juillet, n'était pas encore trop envahie et où je pris plaisir à voir passer les gros bateaux qui s'engageaient dans l'estuaire de la Gironde.


    Un petit souffle d'air marin

    Un petit souffle d'air marin

    Un petit souffle d'air marin

     Un petit souffle d'air marin

        C'est le matin surtout que l'endroit était agréable, les visiteurs commençant à affluer à partir de 13 heures environ.
     

    Un petit souffle d'air marin

    Plage du Bureau (Saint-Palais Centre) en fin de matinée à marée basse, avec au fond le phare de Cordouan.

     
         Tandis que le mauvais temps sévissait sur toute la France (ou presque), nous avons eu la chance de profiter là-bas d'un climat privilégié avec beaucoup de belles journées ensoleillées et de chauds après-midis, comme en témoignent ces images.

        Sur la 3e image, vous apercevez le phare de Cordouan qui trône sur un îlot formé de hauts fonds sableux en plein centre de l'estuaire, au large. Je l'ai photographié plusieurs fois, surprise de cette étrange étendue sableuse qui parfois se laissait voir, ou des moutons qui la surmontaient à marée montante, et enfin des petits bateaux que l'on voyait s'en approcher.


    Un petit souffle d'air marin


    Un petit souffle d'air marin

    L'îlot et le phare de Cordouan avec sur le premier cliché des petits bateaux et sur le second
    les moutons à l'horizon qui m'ont beaucoup intriguée.
     

        J'apporterai dans un prochain article d'autres images et explications.

     

     

     

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        Après le temps maussade du dimanche et un temps d'adaptation, je me lance en exploration dès lundi, en direction de la corniche.

      Cela me permet de m'informer sur l'histoire de la ville et des noms locaux. En effet, pourquoi une "plage du Bureau" ?

       Le site Wikipedia de St-Palais nous apporte des réponses, dans sa partie historique : il se trouvait à cet endroit un "bureau des douanes", depuis 1840, qui donna son nom au village de pêcheurs devenu à la fin du XIXe siècle "Bureau-les-Bains" (voir également ce site très détaillé sur Saint-Palais).

      J'ai en effet aperçu ce bâtiment lors de ma promenade mais ne l'ai pas jugé digne d'être photographié... Dommage ! En effet, une pancarte apposée à la porte de l'enceinte grillagée signalait que le Conseil Régional était en train d'y effectuer les travaux de mise aux normes de sécurité nécessaires à sa prochaine ouverture au public.

        Ces sites expliquent également que les petites plages arrondies du secteur ont été appelées "Conches" en raison de leur forme arrondie et fermée à l'entrée, un peu comme des coquillages. Cela les rend particulièrement protégées des vents et vagues de l'océan, et de plus une petite pente douce et sableuse les rend très sûres et faciles d'accès quel que soit le niveau de la marée.


    Un petit souffle d'air marin (2)


       Me voici donc partie sur la corniche en direction des "Pierrières" et de la plage du Platin, juste en-dessous de l'ancien poste des douanes. Une petite digue semble indiquer que l'on pouvait accoster là à tout moment ; et d'ailleurs juste après de curieux vestiges m'intriguent.

    Un petit souffle d'air marin (2)

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)


      Mais bientôt la promenade devient charmante : je vous laisse apprécier grâce aux photographies que j'en ai prises au fur et à mesure... Un petit banc face à la mer, un joli sentier bien dessiné et bien ombragé, et bientôt de beaux arbres que le vent marin a couchés et qui ont été étayés pour favoriser et sécuriser le passage des promeneurs. A l'horizon quand on regarde la mer, la Pointe de Grave. En effet le site de Saint-Palais est protégé car il fait face au sud, à l'entrée de l'estuaire de la Gironde.
       


    Un petit souffle d'air marin (2)


    Un petit souffle d'air marin (2)


    Un petit souffle d'air marin (2)


    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)


    Un petit souffle d'air marin (2)


    Un petit souffle d'air marin (2)

    Un petit souffle d'air marin (2)


           Peu à peu le terrain se fait plus rocheux : c'est que nous approchons des Pierrières, qui sont de gros rochers plats défiant les vagues comme les vestiges d'une ancienne pointe. C'est là que la Villa Minerve défie l'océan de toute sa hauteur, juste au bord d'une petite anse très creuse traversée par une jolie passerelle. Et lorsque l'on est passé de l'autre côté et que l'on a pris connaissance de la pancarte apposée au rocher, on découvre les premières cabanes de pêche sur pilotis, les carrelets.

     

    Un petit souffle d'air marin (2)

      

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)

     

    Un petit souffle d'air marin (2)


       À une prochaine fois pour la plage du Platin et le Pont du Diable !

     

     


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         Me voici enfin revenue à Saint-Palais sur Mer pour vous parler de ma découverte de la plage du Platin.

          Je m'y suis rendue deux fois c'est pourquoi j'ai deux types de photos sur le sujet, les principales de ce jeudi après-midi où il a fait si beau et où j'ai escaladé les Pierrières jusqu'à passer par-dessus le Pont du Diable (voir ci-dessous) - mais avec précautions car je portais mon meilleur appareil photo, un bridge réglé en 16/9e et armé d'un excellent zoom -, et quelques autres du lundi qui avait précédé, où je ne portais que le petit compact réglé en 4/3. Les deux fois je me suis baignée, mais étant seule personne n'a pu me filmer ! J'ai découvert alors que cette plage, non surveillée et fort tranquille, était par ailleurs un peu dangereuse,  notamment vers son milieu car elle descendait abruptement et présentait un sol rocheux et inégal. Je pense que la baignade y était préférable à marée haute, ce qui était plus ou moins le cas, mais ce jeudi de gros rouleaux m'ont bien chahutée pour entrer et sortir de l'eau. Il m'a fallu me cramponner au sol et remonter à quatre pattes ! Le lundi par contre, ayant plongé sur les bords avec d'autres baigneurs dont des enfants, j'ai trouvé l'eau un peu sale à proximité des roches mais il y avait moins de houle et plus de sécurité. Avis aux amateurs...

      Il faut dire que ce jeudi il y avait un fort vent d'ouest, vent du large qui frappe cette côte de biais puisqu'elle fait plus ou moins face au sud, mais plus agressif sur la plage du Platin puisque c'est la dernière en montant vers Rochefort avant la Grande Côte et la Côte Sauvage, redressées vers l'ouest. En arrivant j'ai failli bloquer un petit ballon poussé par le vent, et je l'ai vivement regretté, car de bourrasque en bourrasque il a tellement filé que le petit garçon n'a jamais pu le rattraper, au grand désespoir de sa petite soeur qui s'est mise à pleurer : il avait roulé dans la mer de l'autre côté et partait déjà sur les flots.

       J'ai donc entamé l'escalade des Pierrières avec d'autant plus d'hésitation que le vent me bousculait violemment tandis que la mer les entourait quasi totalement, formant des giclées d'écume que je me suis plu à filmer à plusieurs reprises.

     

    Le début de la masse rocheuse photographiée lundi, depuis l'escalier qui descend sur la plage. On y aperçoit déjà une mince passerelle qui n'est pas le "Pont du Diable".

     

    Le début de la masse rocheuse photographiée lundi, depuis l'escalier qui descend sur la plage. On y aperçoit déjà une mince passerelle qui n'est pas le "Pont du Diable".

     

    Je me suis engagée sur cette première partie des roches, qui démarre d'un rehaut sableux.
     
     
     
    Je me suis engagée sur cette première partie des roches, qui démarre d'un rehaut sableux.
     
     
     
    Je me suis engagée sur cette première partie des roches, qui démarre d'un rehaut sableux.

     

    Je me suis engagée sur cette première partie des roches, qui démarre d'un rehaut sableux.

     

    Sur la gauche on aperçoit les deux cabanes de pêcheurs installées en bout de pointe. Quand je passe d'une roche à l'autre je m'engage dans des chaos rocheux où la mer s'engouffre, envoyant des giclées à chaque vague.
     
     
     
    Sur la gauche on aperçoit les deux cabanes de pêcheurs installées en bout de pointe. Quand je passe d'une roche à l'autre je m'engage dans des chaos rocheux où la mer s'engouffre, envoyant des giclées à chaque vague.
     
     
     
    Sur la gauche on aperçoit les deux cabanes de pêcheurs installées en bout de pointe. Quand je passe d'une roche à l'autre je m'engage dans des chaos rocheux où la mer s'engouffre, envoyant des giclées à chaque vague.


    Sur la gauche on aperçoit les deux cabanes de pêcheurs installées en bout de pointe. Quand je passe d'une roche à l'autre je m'engage dans des chaos rocheux où la mer s'engouffre, envoyant des giclées à chaque vague.

    Je suis stupéfaite de la porosité de ces pierres qui sont trouées en tous sens, laissant donc apparaître des arches comme on en peut creuser dans le sable, et même parfois des fosses profondes.
     
     
     
    Je suis stupéfaite de la porosité de ces pierres qui sont trouées en tous sens, laissant donc apparaître des arches comme on en peut creuser dans le sable, et même parfois des fosses profondes.
     
     
     
    Je suis stupéfaite de la porosité de ces pierres qui sont trouées en tous sens, laissant donc apparaître des arches comme on en peut creuser dans le sable, et même parfois des fosses profondes.


    Je suis stupéfaite de la porosité de ces pierres qui sont trouées en tous sens, laissant donc apparaître des arches comme on en peut creuser dans le sable, et même parfois des fosses profondes.

     

    Si je m'approche progressivement des cabanes, les creux à traverser me paraissent par contre de plus en plus périlleux (et si je glissais, avec tout mon barda dans le dos et autour du cou ?)
     
     
     
    Si je m'approche progressivement des cabanes, les creux à traverser me paraissent par contre de plus en plus périlleux (et si je glissais, avec tout mon barda dans le dos et autour du cou ?)
     
     
     
    Si je m'approche progressivement des cabanes, les creux à traverser me paraissent par contre de plus en plus périlleux (et si je glissais, avec tout mon barda dans le dos et autour du cou ?)


    Si je m'approche progressivement des cabanes, les creux à traverser me paraissent par contre de plus en plus périlleux (et si je glissais, avec tout mon barda dans le dos et autour du cou ?)

    Il faut vraiment traverser bien des épreuves pour l'atteindre par le dessus, mais le voici ! Le Pont du Diable, ainsi nommé parce que le Diable aurait jeté cette pierre entre deux rochers pour sauver un pêcheur surpris par la marée.
     
     
     
    Il faut vraiment traverser bien des épreuves pour l'atteindre par le dessus, mais le voici ! Le Pont du Diable, ainsi nommé parce que le Diable aurait jeté cette pierre entre deux rochers pour sauver un pêcheur surpris par la marée.


    Il faut vraiment traverser bien des épreuves pour l'atteindre par le dessus, mais le voici ! Le Pont du Diable, ainsi nommé parce que le Diable aurait jeté cette pierre entre deux rochers pour sauver un pêcheur surpris par la marée.

     

    Vue des vagues déferlant sous le Pont ; il est vrai que l'on se demande comment a pu se détacher ainsi cette belle roche plate.

     

    Depuis le Pont, le chemin que je venais d'emprunter - moins ses multiples failles ! Avec au loin l'escalier descendant sur la plage.


    Depuis le Pont, le chemin que je venais d'emprunter - moins ses multiples failles ! Avec au loin l'escalier descendant sur la plage.

    Dans l'autre sens, vers le sud-ouest (à droite des cabanes de pêche) un paysage vaguement herbeux, qui me surprend...


    Dans l'autre sens, vers le sud-ouest (à droite des cabanes de pêche) un paysage vaguement herbeux, qui me surprend...


    Maintenant, le Pont du Diable zoomé depuis la plage.

     

     

    Maintenant, le Pont du Diable zoomé depuis la plage.


    Maintenant, le Pont du Diable zoomé depuis la plage.

    Vues générales de la plage du Platin, les deux premières de lundi, la troisième de jeudi au retour. Elle est très étendue ! Je ne suis pas allée jusqu'au bout.
     
     
    Vues générales de la plage du Platin, les deux premières de lundi, la troisième de jeudi au retour. Elle est très étendue ! Je ne suis pas allée jusqu'au bout.
     
     
    Vues générales de la plage du Platin, les deux premières de lundi, la troisième de jeudi au retour. Elle est très étendue ! Je ne suis pas allée jusqu'au bout.


    Vues générales de la plage du Platin, les deux premières de lundi, la troisième de jeudi au retour. Elle est très étendue ! Je ne suis pas allée jusqu'au bout.



     

    Vue générale de la Plage du Platin, en mouvement cette fois ! Il ne manque que l'air marin...

      

     

     


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         Je vous emmène aujourd'hui à Ancenis, et plus exactement sur la belle promenade que nous fîmes du côté du lieu dit "l'île Mouchet", qui n'est pas à proprement parler une île mais plutôt un bord de Loire.

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Photographie satellite des lieux avec quelques repères (cliquez pour agrandir).

      Le temps n'était pas extraordinaire et la Loire très haute, mais pas autant que ce jour de décembre 2013 où je me suis rendue déjà au même endroit (voir ici).

      Nous arrivâmes en voiture à l'endroit d'où démarre le chemin (totalement englouti sous les flots lors de ma première visite) vers l'île Macrière (véritable celle-là).

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


       Je me suis avancée sur le chemin qui me surprit en s'engageant vers la gauche, laissant apparaître des bancs de sable par endroits. Devant moi un groupe de jeunes avançait, semble-t-il, avec difficulté.

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

     Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


       Eh oui, c'est qu'au milieu le chemin était encore submergé (malgré les bancs de sable !); et comme je ne voyais pas sous la végétation et n'avais pas de bottes, je renonçai.

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


         Derrière moi, je vis arriver mes trois chéris !! Ils n'aiment pas trop être sur internet, mais pour une fois... Les petits s'étant réveillés, tout le monde arrivait pour se promener.

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

     Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


       Nous nous engageâmes donc vers le circuit de l'île Mouchet - que nous fîmes en partie, en le coupant par le milieu. Admirez au passage les quelques branches qui affleurent à la surface de l'eau... La Loire est vraiment étonnante ! 

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


       Qu'est-ce qu'elle trouve, la petite fille ? Des mûres ! Elle en cueillera et s'en délectera tout au long...

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

     
      Une bien jolie promenade dans les bois ! Mais bientôt je trouvai un descriptif de ce secteur appelé "Île Mouchet".

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


      Plus loin les sous-bois m'étonnèrent : ils avaient certainement été inondés !

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

     
      Après ce petit chemin forestier, nous rejoignîmes une route plus large, sur laquelle nous fûmes dépassés par une équipe de foot en plein entraînement. Sans parler de la quantité incalculable de joggers que nous croisâmes...

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet

     
         Mais nous arrivions au bout de notre périple ; nous touchions au point d'où nous étions partis : cette écluse pour le petit ruisseau à l'endroit de sa rencontre avec l'énorme Loire.

    Autour d'Ancenis, la promenade de l'île Mouchet


         Le lendemain, je découvrais Clisson ! Je vous le fais visiter bientôt.

    (Voir ici)

     

     

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  •        Clisson, dans la Loire-Atlantique, est un charmant village situé à 27 kms au sud-est de Nantes. Nous nous y rendîmes pour quelques heures, ce qui me permit de faire connaissance avec la Sèvre Nantaise qui le traverse, ainsi qu'avec son majestueux château.

       Forteresse moyen-âgeuse bâtie entre le XIe et le XIIIe siècle sur la hauteur surplombant la rivière, la bourgade a connu une histoire riche en péripéties : initialement bretonne, puis pratiquement détruite par les guerres de Vendée au XVIIIe siècle, elle fut reconstruite au XIXe siècle par les deux frères Cacault, revenus d'Italie mais d'origine nantaise, qui décidèrent alors de lui insuffler le style toscan. 

       Je vous propose pour cette première partie une marche dans les rues, la seconde devant être consacrée aux bords de la rivière Sèvre.

     

     Une excursion à Clisson (1ère partie)
    Image satellite du centre historique de Clisson

     

     Partis d'en haut à gauche de ce plan, où l'on aperçoit les Halles, nous descendîmes le long du château, traversâmes le pont sur la Sèvre, puis obliquâmes vers la droite pour traverser la Moine, ce qui nous conduisit au domaine de la Garenne Lemot, que j'évoquerai dans l'article prochain.

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)
    La majestueuse Halle du XVe siècle.

     

         A la sortie de la Halle sur la droite, vous apercevez une étonnante pizzeria au style tout à fait italien. On y trouve aussi cette borne explicative, comparable à beaucoup d'autres dispersées à travers le centre historique.

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

     

       Ensuite, après un aperçu des remparts du château et un dernier coup d’œil aux Halles par le dessous, je descendrai vers les berges du fleuve le long de l'église Notre-Dame par la rue Tire-Jarrets, qui est pavée et de temps à autre prend la forme d'escaliers.

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)


    Vues en descendant.

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

     Puis en me retournant vue vers l'église et la plaque la présentant.

     
    Une excursion à Clisson (1ère partie)

     

       Nous atteignons alors le pied des remparts du château qui, s'élevant sur toute la hauteur de la colline, paraissent gigantesques. C'est une rue plus accessible et notamment empruntée par des véhicules que je rejoins (rue de la Collégiale), et derrière moi sur ma gauche, elle laisse apparaître un arbre couché jusque sur un toit...! Cette image magnifique et inhabituelle me change agréablement d'Issoudun dont les habitants ont la vilaine manie de tronçonner systématiquement leurs arbres dès qu'ils dépassent cinq mètres, tant ils ont peur d'en recevoir une branche sur leur toiture ! Avec un petit coup d’œil en passant vers la ruelle qui file sur la droite, nous continuons à descendre sur notre gauche.

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)
    Remparts du château vus de la Rue de la Collégiale.

     

      Nous arrivons à la rivière et à son joli pont : le Pont de la Ville, entièrement pavé et portant un calvaire en son milieu. Derrière nous, le château, imposant mais guère visible d'aussi près. À l'entrée du pont, une petite descente (il y en avait de chaque côté) pour rejoindre les berges et parfois quelques barques. Beaucoup de saules pleureurs, vous le constaterez, ce qui ne manque pas de charme...

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)
    Le Pont de la Ville avec une borne descriptive.

     

         En me retournant, j'ai une vue plus dégagée sur l'église Notre-Dame et le château, ainsi que sur un étrange bâtiment transformé en hôtel de luxe et que les gens contournent pour descendre encore sur les berges, de l'autre côté, où se trouvent des "seuils" déversoirs destinés à éviter les crues qui par le passé ont été très sévères. 

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Les deux images du château sont prises l'une vers la gauche et l'autre vers la droite.

     

        Nous arrivons sur l'autre berge et en effet, il reste des traces de crues mémorables ! Deux mètres à deux mètres cinquante au-dessus des rues, pratiquement !

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

    Une excursion à Clisson (1ère partie)
    Près de la statue de Saint-Antoine, les plaques commémoratives de la hauteur des crues.
         

    La plaque la plus élevée, près de la statue indique : 

       " L'eau a monté à cette hauteur du 25 au 26 septembre 1770 "

          Sur le côté de l'immeuble d'étranges images d'animaux apparaissent... Je ne sais pas ce que c'est. Mais par l'échappée, on aperçoit le château.

         En tournant, nous atteignons le second pont pavé, celui qui passe la rivière "Moine".

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

     
     Une dernière vue du château avant de nous engager dans le domaine de la Garenne Lemot, qui fera l'objet du prochain article...

    Une excursion à Clisson (1ère partie)

     
     
     

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