• Dilexi decorem domus tuae  (J'aime la beauté de ta maison)....

     

    Ce dessin n'est pas une reproduction fidèle du site de Delphes, mais une image inspirée par la région de la Tholos de Marmaria qui en réalité est en ruines - et où j'ai passé une nuit, un été.

     

     

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    Calligramme-Bréhec

     


    Pas évident de faire tenir le site de Bréhec en calligramme sur cette page... Autant réduire l'univers dans la chas d'une aiguille ! Mais en cliquant sur l'image vous devriez la voir s'afficher plein écran. En attendant, voici l'original :
     


    Il manque quelque chose sur la photo, vous avez vu ? C'est le "toureau", que j'ai grossi considérablement sur le calligramme parce que c'est, avec la pointe de la Tour, "l'emblême" de Bréhec : un petit phare (sans lumière : une tour) au large de la baie, ici caché par la jetée, qui marque la position d'un récif (on l'appelle aussi "le Taureau", héhé, parce que comme dans les arènes on l'évite et on le contourne en bateau !). Vous le verrez mieux ici :
     


    Ou là (on voit bien les dents et le nez du crocodile...):


    Quant aux "coquillages", combien j'en ai ramassé par le passé, et comme ils étaient jolis ! J'ai même fabriqué des figurines avec, en les collant les uns aux autres. Mais j'ai bien peur qu'ils aient disparu aujourd'hui. C'est comme les grottes de la Pointe ; il y en a de moins en moins, et il faut aller de plus en plus loin pour les trouver : les tempêtes les effondrent peu à peu...

    A Bréhec-plage, dans les années 60, il y avait peu de bateaux amarrés et le port n'était pas si pollué. Quand la marée était haute, on plongeait de la jetée, et on remontait par l'escalier latéral, ou par les petites échelles pratiquées pour les marins.
     
     
     

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  • Ange-Martine Maillard

     
     

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  • J'y vais, j'y vais pas ???...



    Finalement non, j'y vais pas....



    C'était pourtant si joli, la vallée cachée, la vallée "mystérieuse", que l'on ne découvre de Bréhec que lors des grandes marées basses, et qui possède encore "sa grotte", celle qui me fait toujours penser au poème de
    Baudelaire "La Vie Antérieure" :

     
    "J'ai longtemps habité sous de vastes portiques
    Que les soleils marins teignaient de mille feux,
    Et que leurs grands piliers droits et majestueux
    Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.

    Les houles, en roulant les images des cieux,
    Mêlaient d'une façon solennelle et mystique
    Les tout-puissants accords de leur riche musique
    Aux couleurs du couchant reflété par mes yeux..."

     
    Eh oui, ce soir je préfère citer Baudelaire ; et en plus, Baudelaire revisité par Henri Duparc, c'est tellement beau...

     

      
     

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    Comme je suis dans mes souvenirs de vacances, voici la physionomie de Bréhec dans les années 50 :



    La plage, surmontée d'une rangée de galets aujourd'hui recouverte de sable des landes...



    Le port, avec à gauche la pointe de la jetée, à l'époque beaucoup plus courte qu'aujourd'hui...


     
     Eh ! oui, des coquillages, il y en avait !
     



    Quel temps aujourd'hui pour la pêche ?
     

    - Cette poupée, c'était bien moi en 1952 et 53... Mais n'ayez crainte, si je portais pull et bonnet, c'est qu'à l'époque mes parents prenaient leurs vacances en septembre, afin de pouvoir profiter des commodités de l'Hôtel de la Plage. 
      
     

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