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    Calligramme-Bréhec

     


    Pas évident de faire tenir le site de Bréhec en calligramme sur cette page... Autant réduire l'univers dans la chas d'une aiguille ! Mais en cliquant sur l'image vous devriez la voir s'afficher plein écran. En attendant, voici l'original :
     


    Il manque quelque chose sur la photo, vous avez vu ? C'est le "toureau", que j'ai grossi considérablement sur le calligramme parce que c'est, avec la pointe de la Tour, "l'emblême" de Bréhec : un petit phare (sans lumière : une tour) au large de la baie, ici caché par la jetée, qui marque la position d'un récif (on l'appelle aussi "le Taureau", héhé, parce que comme dans les arènes on l'évite et on le contourne en bateau !). Vous le verrez mieux ici :
     


    Ou là (on voit bien les dents et le nez du crocodile...):


    Quant aux "coquillages", combien j'en ai ramassé par le passé, et comme ils étaient jolis ! J'ai même fabriqué des figurines avec, en les collant les uns aux autres. Mais j'ai bien peur qu'ils aient disparu aujourd'hui. C'est comme les grottes de la Pointe ; il y en a de moins en moins, et il faut aller de plus en plus loin pour les trouver : les tempêtes les effondrent peu à peu...

    A Bréhec-plage, dans les années 60, il y avait peu de bateaux amarrés et le port n'était pas si pollué. Quand la marée était haute, on plongeait de la jetée, et on remontait par l'escalier latéral, ou par les petites échelles pratiquées pour les marins.
     
     
     

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  • H ardi, Harry Potter,
    A ttaque l’ennemi !
    R assemble tes amis,
    R emue tes supporters,
    Y a de la joie dans l’air !

    P otions, métamorphoses,
    O h ! Tu t’en tires bien ;
    T u es doué pour ces choses,
    T u sais d’où ça te vient !
    E t ce Prince qui t’aide,
    R egarde-le qui cède…
     
     

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    F ontainebleau, cité qui berças mon enfance,
    O pale dans le creux d’une forêt immense,
    N apoléon t’aima, comme le roi François ;
    T u restes cependant ma préférée à moi !
    A vec la salamandre et l’aigle pour symboles,
    I gnore le manant couché dans la rigole :
    N ombreux sont les recoins offerts au vagabond
    E ntre pins et rochers, pour faire un cabanon.
    B iches, faons et chevreuils parcourent tes carrières,
    L ibres de se nicher dans le creux des fougères,
    E t les jardins royaux, le canal et l’étang
    A joutent à la paix du promeneur content…
    V is longtemps et prospère, ô ville qui m’es chère !


    (Excusez le "v" à la romaine, je ne voyais pas comment finir avec un "U". C'est assez joli, non ?)
     
     

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    Béatrice, par Odilon Redon (1840-1916) 
     
     
     
    B éatrice, appelée à créer le bonheur,
    E fface à tout jamais les cercles qui me brisent
    A vec ce feu divin dont les pierres se grisent.
    T out en moi est discorde, ô pitié pour mon cœur,
    R éduis ce cœur en cendre et détruis ses mensonges :
    I ci-bas tout est faux, tout est désillusion,
    C auchemar épuisant, odieuses présomptions !…
    E fface de mes yeux le voile de leur songe.
     
     

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  • A Irène, qui aimait ce film et dont le nom évoque la paix…

     
    I ls s’étaient envolés, mes oiseaux d’océan,
    R éfléchissant au ciel leurs ailes éclatantes,
    E t je voyais sombrer avec l’astre géant
    N avires démontés et murailles flottantes,
    E ntraînant leurs trésors dans le gouffre béant.

     
     

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