-
Pause
(Que celui qui connaît l'auteur de ce tableau me le signale)
Tu as posé sur moi Ton Sourire d’Amour
Et comme une luciole happée par la lumière
J’ai cessé de bouger
Et me suis enfin tue
Des hauteurs infinies où règne Ton Silence
Est descendue sur moi cette onde bienfaisante
Cette Source de flammes
Qui m’a rendu la Vie
Je ne puis que T'offrir à présent mes désastres
Me libérer enfin du carcan des possibles
Et attendre à Tes pieds
Que Ton bras me relève
-
Commentaires
Aloysia, aucun mot ne sera assez fort pour souligner la beauté de ton poème !
Et c'est dans le silence que l'on ressent tout ce que tu décris si bien.
Je suis sûre que le bras t'a relevée et qu'aujourd'hui tu vas aborder une journée emplie de joie ! Bises à toi
faire silence , re-naître, abandonner ses peines, et juste attendre pour recevoir (en aller et retour)
je veux recevoir cette belle poésie comme un doux moment de sérénité , merci Aloysia.
Les moments de silence me semblent indispensables pour nous mettre au diapason de notre source intérieure... Bises. brigitte
Un beau poème, Aloysia, qui me rappelle un peu saint Jean de la Croix. Mais nos "possibles" ne sont-ils vraiment que "désastres"?
Mystère. C'était une idée comme ça mais doit-il vraiment le faire ? Est-ce le bon moment ? Je pense que la position doit être conservée quelque temps... Tant que l'on n'a pas fini de se dépouiller de soi-même, mieux vaut ne pas bouger...
merci pour ta visite et moi aussi reprend après une pause pascale. Au lac majeur, beaucoup de statues de la Vierge, même dans une église, notre dame de Lourdes. Très bonne soirée et bises
Ajouter un commentaire
Le silence apaise
Merci pour ces mots
@ Bientôt
Heureux wkend je te souhaite