• Paix

     
     
    (Merci à Carine et Maude pour ce superbe cliché, pris à Machu Picchu)
     
     


    Au seuil tout s'est éteint
    O la paix des mirages
    Et ce fut l'infini dans un poisson-sirène
    Ce fut la conque rose à l'oreille ravie
    A perte de regard le silence épandu
    Un amour sans égal au fond du cœur brisé

     

    La Paix nous a saisis
    Comme des malfaiteurs
    Et tout s'est arrêté nos regards suspendus
    Nos cheveux envolés notre sourire ému
    O miracle soudain qui fais le jour nouveau
    O l'amour sans égal au fond du cœur brisé

    L'oubli a inondé
    Le lit de notre cœur
    C'est un fleuve éclatant maintenant que notre âme
    Et l'amour sans égal nous élève sans fin
    Éveillant des parfums des sons et des couleurs
    Inépuisablement de notre cœur brisé


     
     
    « Sur l'hommage à Dali d'Al MauryColombie »

  • Commentaires

    1
    Dimanche 26 Septembre 2010 à 12:00
    Ce poème est magnifique ! bises
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