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La Roue de Fortune
Haut et bas
Chaud et froid
Doux moments
Durs instants
La vie ballotte ainsi
Ou de gré
Ou de force
Et parfois le malheur est si grand
Si long qu’on n’en voit plus la fin
Plus la fin
Puis un jour on s’éveille
Sur la paix retrouvée
Ébloui de bonheur
Comment est-ce possible ?
On n’y croit pas
Tout passe
Alors on sort la tête de l’eau
Et l’on voit les vagues
Mouvantes
On domine les montagnes
On voit les vallées
Profondes
Et l’on voit que la vie
C’est tout ce chatoiement
Un balancier constant
Un jeu de cache-cache
L’éternelle pirouette
De l’instant arlequin
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Commentaires
1RobertVendredi 19 Mars 2010 à 12:00Bravo Martine ! J'adore tes poèmes, pleins de fraîcheur, de lumière et d'une étincelante jeunesse.Répondre
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