• Comme on voit sur la branche...

     
     
    Comme on voit sur la branche, au mois de mai, chanter
    Une fauvette brune à la calotte noire,
    Discourant, devisant en gazouillis notoire,
    De même on voit la rose éveiller sa beauté...


        Allez ! Il y aurait encore tant à dire, sur l'utilisation de la rose dans la poésie, depuis Ronsard (voir ici) ou même avant... jusqu'à Saint-Exupéry, et même après - autant sans doute que sur les oiseaux !
        C'est pourquoi je me contente de vous offrir ces quelques vues de mes premières roses, avec le souvenir musical qu'elles m'inspirent.
     
     




       
        On croit en sentir le parfum... Aussi est-ce Théophile Gautier qui me revient en mémoire, avec ces vers :

       « Tu me pris encore emperlée
    Des pleurs d'argent de l'arrosoir »

        Qui bien sûr ont reçu leur consécration dans la mélodie de Berlioz que j'ai, je crois, déjà citée il y a quelques années sur ce blog... et qui est ici merveilleusement interprétée par dame Janet Baker (« Le Spectre de la Rose », in « Les Nuits d'été »)


     
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  • Commentaires

    1
    Vendredi 16 Mai 2008 à 12:00
    tes premières roses? ici, c'est à peine les premières feuilles.....oiunnnn!!!
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