F ontainebleau, cité qui berças mon enfance,
O pale dans le creux d’une forêt immense,
N apoléon t’aima, comme le roi François ;
T u restes cependant ma préférée à moi !
A vec la salamandre et l’aigle pour symboles,
I gnore le manant couché dans la rigole :
N ombreux sont les recoins offerts au vagabond
E ntre pins et rochers, pour faire un cabanon.
B iches, faons et chevreuils parcourent tes carrières,
L ibres de se nicher dans le creux des fougères,
E t les jardins royaux, le canal et l’étang
A joutent à la paix du promeneur content…
V is longtemps et prospère, ô ville qui m’es chère !
(Excusez le "v" à la romaine, je ne voyais pas comment finir avec un "U". C'est assez joli, non ?)